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Réflexion sur la langue de travail (1/11/2015)

 

Il y a deux écoles pour surmonter la barrière de la langue dans les affaires. La première préconise l’utilisation de l’interprète, pratique largement répandue au Japon selon Business France. La deuxième privilégie l’utilisation de l’anglais, bien que le niveau des homologues japonais soit souvent faible (témoignage d’un ex. cadre-dirigeant chez Renault-Nissan). Ceux qui ont eu une mauvaise expérience avec un interprète n’ayant pas de connaissances suffisantes sur le business, deviennent des adeptes de cette deuxième école.

 

Ces choix différents proviennent des expériences de chacun, parfois malheureuses. Si vous avez un bon interprète à qui vous pouvez entièrement faire confiance, c'est parfait. En revanche, si vous n’en avez pas cette chance, les réunions par interprète interposé ou les négociations en anglais approximatif, exposent parfois à des risques d’incompréhension et de malentendu.

 

Pour soutenir votre partenariat avec des japonais, il faut joindre deux compétences : la connaissance des affaires et celle des deux langues. Nos langues de travail sont le français, le japonais et l'anglais et nous agissons comme votre collaborateur temporaire avec toutes nos compétences, juridiques,  financières et commerciales.

 

Nous accompagnons votre relation commerciale avec vos partenaires japonais, en vous assistant en réunion, lors de l’accueil dans vos locaux, en déplacement au Japon. La présence d’une personne qui comprend leur langue rassure vos interlocuteurs. En outre, le dialogue direct en japonais en marge de réunion, permet parfois d'obtenir davantage d’informations sur l’intention de vos partenaires nippons.